Хорошее интервью в рамках продвижения Босса, в общем ничего нового.
Французы назвали Джерра гедонистом.
Бесстрашный шотландец экшен-фильмов, сделанных в Голливуде, Джерард Батлер ведет свою жизнь со скоростью 100 миль в час. Гедонист, байкер и путешественник, он также является послом Boss аромата.
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Gerard Butler : "J'ai la réputation de travailler dur"
by Pierre Blast
01.06.2017
Intrépide Écossais pour films d’action à gros budget made in Hollywood, Gerard Butler mène sa vie à 100 à l’heure. Hédoniste, motard et globe- trotter, il est aussi ambassadeur des parfums Boss. C’est dire si l’acteur, à 47 ans, est un homme sollicité.
Qu’est-ce qui est le plus agréable dans le fait d’être ambassadeur pour les parfums Boss ?
De pouvoir dire : « C’est moi le Boss ! » À Londres, ils m’appellent même « Bossman »... Et puis, être ambassadeur, quelle aventure ! Ma collaboration avec les parfums Boss m’a permis de voyager à travers le monde, de Londres à Shanghai en passant par Dubaï. Ici, à Paris, l’équipe m’a emmené voir le show – extraordinaire – du Crazy Horse. Sincèrement, ce titre d’ambassadeur, qui le refuserait ?
Être écossais, est-ce utile pour survivre à Hollywood ?
Deux choses m’ont permis de trouver ma place aux États-Unis. La première, c’est mon côté très terre-à-terre. Vous ne perdez jamais de vue ce que vous êtes, votre âme, votre personnalité. J’ai vu trop de gens autour de moi se griser et perdre pied. La seconde, c’est notre sens de l’humour. Je peux rire de moi-même et, surtout, je risque de me faire bien allumer si je me prends un peu trop au sérieux. Cela m’arrive souvent en Écosse. Un type me croise et me dit : « Mais je te reconnais, toi ! Tu te crois malin parce que tu es célèbre ?! » (Rires)
Qu’est-ce qui « fait » la griffe Gerard Butler là-bas ?
Je développe mes propres projets, je travaille sur les scéna- rios... Sur un plateau, au premier jour du tournage, je suis prêt. J’ai la réputation de travailler dur. Ce qui peut épargner aux metteurs en scène et producteurs pas mal de désagréments. Pour leur défense, à Hollywood, l’approche du cinéma est moins arrogante qu’en Europe. Ils aiment faire des films, ils ont ça dans le sang. Moi qui venais de Grande-Bretagne, où il existe encore un système de classes jusque dans les films qui ne sont, finalement, pas si nombreux à être tournés, je suis tombé sur des gens qui ont immédiatement répondu, et de manière très positive, à mon enthousiasme, ma soif de travail.
La concurrence est rude parmi les hommes d’action sur grand écran ?
Certainement. Alors, imaginez la concurrence entre les réalisa- teurs et, surtout, les producteurs ! Quand je pense à l’argent qu’il faut mettre sur la table pour essayer de s’assurer un gros succès aujourd’hui : 150, 200 millions de dollars... Des proportions jamais vues ! Les acteurs ont leur part de pression sur les épaules, mais jusqu’où cela ira-t-il ? Il y a bien un jour où un studio finira par injecter dans un seul film le PIB d’un petit pays... sans être sûr de ne pas faire un flop en retour. Cela devient de plus en plus risqué le cinéma,
et je ne parle pas que des cascades.
Caressez-vous toujours ce rêve de vous offrir un château en Écosse ?
J’en ai cherché quelques-uns ! Un château, un manoir... Il y en a à revendre à la pelle. Le seul problème, c’est que leur restauration engloutit des sommes faramineuses. Ma famille habite là-bas, dans une région idyllique. Pour ma part, je n’y retourne que trois fois par an, voir mes parents, qui commencent à devenir vieux.
Quel serait alors votre luxe ultime ?
Mon vrai luxe, ce sont les roadtrips à moto avec mes amis. Je viens de traverser l’Utah, le Colorado et l’Arizona en Harley Fat Boy. À Los Angeles, je préfère me balader sur ma Triumph. Rien de très matériel, juste du temps que je m’offre pour moi.